Samedi 7 août: la course des petits bateaux

Une belle journée ensoleillée mais très venteuse se dessine. Déjeuner au chalet et ensuite une visite au comptoir du producteur du Veau de Nathaël pour se procurer un petit rôti de veau que nous dégusterons au souper. Au retour au chalet, on arrête saluer Monica à son salon de coiffure avant notre départ des Îles.

Aujourd’hui fut certainement la journée la plus hilarante de notre séjour aux Îles. En après-midi, nous avons assisté à la course des petits bateaux à la plage de Havre-Aubert organisée dans le cadre du festival acadien. Ce fut probablement la journée de l’année où la population de Havre-Aubert était la plus nombreuse. Voici en gros les règles de la compétition :

• Chaque équipe s’inscrit à une seule des trois catégories : performance, participation et farfelue;
• Chaque équipe doit utiliser un budget maximum de $200 pour les matériaux de construction de leur bateau
• Chaque équipe dispose de 3 heures pour construire son bateau
• Lors de l’épreuve sur l’eau : le bateau doit parcourir l’allée à la rame et le retour à la voile
• Aucune limite quant au nombre de membres de l’équipe sur l’embarcation lors de l’épreuve sur l’eau

Un, deux, trois, GO c’est parti! Pendant 3 heures nous avons admiré le talent parfois de bricoleurs, parfois de comédiens des équipes. Voici la liste de quelques modèles de bateaux farfelues qui ont été construits :

• une motoneige
• un véhicule de la voirie pour étendre l’asphalte
• un phoque en tenue hawaienne allongé sur une chaise longue
• une automobile ancienne
• un puit de pétrole
• un terrain de basketball
• un pont
• etc…

Les photos ci-bas témoignent de cette journée de « party » du festival acadien aux Îles.

Ensuite, retour au chalet pour le souper et ramasser nos baggages car nous quittons sur le traversier de 8h00 demain matin.

Ça y est, c’est notre dernière journée de vacances aux Îles. Deux semaines merveilleuses à apprécier la beauté du paysage, la générosité et la joie de vivre des madelinots. Nos visites de l’archipel nous ont démontré également la fragilité des Îles constamment exposées aux forces de l’érosion de la mer. Un défi permanent pour préserver cet oasis de terre.

Aux Îles, on perd la notion du temps. On vit simplement au gré du vent et de la mer.

Au revoir les Îles et à la prochaine!

L'équipe "LAWOIRIE"

Les panneaux de signalisation de l'équipe "LAWOIRIE"

Le véhicule John à Deere de l'équipe "LAWOIRIE" pour étendre l'asphalte. Pas sûr que ça va flotter!

Pour construire un petit bateau, ça ne prend pas seulement des outils mais aussi des chaudières de bières bien remplies!

L'équipe "Les motoneigistes à la dérive"

L'équipe "La mariée (marée) noire"

Une animation de l'équipe "Les loups phoques"

Le bateau gagnant de la classe Performance... un simple petit dériveur avec une quille rétractable et un gouvernail. Une pagaie double et voilà, le tour est joué! On applique simplement les bons vieux principes de la voile.   

Le départ de la classe Farfelue

Un bateau acadien avec une voile en forme de drapeau acadien et une image de l'archipel des Îles.

L'entrée à l'eau de l'équipe "Les millionaires"... une boîte de sardines. Faut le faire!

Le fouilli de la course de la classe Farfelue. À un certain moment donné il y avait tellement de bateaux qui allaient dans toutes les directions qu'on ne savait plus qui était premier!

Vendredi 6 août: À la conquête des îles du nord

On prévoyait une journée excitante avec une visite des Îles de Point-aux-Loups, Grosse-Île et Grande-Entrée en… scooter! Sauf que Dame Nature n’était pas de notre côté avec une légère pluie. Avec une chaussée  mouillée, nous avons décidé d’y aller de prudence et faire la visite en auto.

Donc, départ du chalet vers 8h30 pour d’abord aller annuler la réservation des scooters. Ensuite, on se dirige vers Pointe-aux-Loups. Dès qu’on passe l’Île de Havre-aux-Maisons, on réalise que les Îles plus au nord sont moins peuplées. Les îles de Cap-aux-Meules, Havre-Aubert et Havre-aux-Maisons sont vraiment le centre des activités économiques et touristiques de l’archipel.

Il y a toutefois les Mines Seleines situé à l’entrée de Grosse-Île qui emploie près de 120 personnes. Une visite du musée de la mine nous a appris des choses très intéressantes. Entre autre, nous savons que l’exposition au sel était bon pour la santé des mineurs car ça contribue à éliminer les ions négatifs. Et bien!... je n’aurais jamais pensé que travailler dans une mine pouvait être bénéfique pour la santé. Également, les immenses véhicules utilisés pour extraire le sel doivent être descendus en pièces détachées dans la mine étant donné l’espace restreint dans les ascenseurs. Quel défi! En 1997, la mine a dû fermer  pour une période de 3 ans à cause d’infiltration d’eau.  Et n’ont ré-ouvert qu’en 2000.  Cet été, puisqu’il y a abondance de sel pour les routes du Québec, compte tenu de l’hiver doux que nous avons vécu, les mines sont donc présentement en shut-down et les mineurs en congé. Me semble avoir déjà entendu une histoire similaire de surplus d’inventaire avec le sirop d’érable du Québec il y a quelques années. ;-)

Par la suite, nous avons continué notre chemin jusqu’à la marina de l’île de la Grande Entrée pour le lunch, un délicieux club au homard.  Nos forces étant faites nous avons opté pour une belle randonnée pédestre sur l’île Boudreau.  Spectaculaire, surtout avec le vent et les vagues qui arrivaient sur les berges.  Et le soleil est maintenant de la partie.

Pour souper, des excellents sushis de la poissonnerie de Cap-aux-Meules accompagnés d’une bière « Écume » de la micro-brasserie des Îles : « À l’abri de la tempête ». Vraiment, du côté culinaire, tout est sublime aux Îles! Avez-vous le goût de venir y faire un tour?

Des bateaux en cale sèche au port de Pointe-aux-Loups

Un renard nous est apparu sur le bord de la route vers Grosse Île

De magnifiques vitraux à l'église anglicane Holy Trinity de Grosse Île

Maison typique des Îles sur l'Île de Grande Entrée

Une vague se fracassant sur un rocher près de l'île Boudreau

Alain sur un rocher près de l'île Boudreau (à l'est de l'Île de Grabde Entrée)

Des inukchuk (ou quelque chose du genre) érigés au sommet de l'île Boudreau

l'île Boudreau

Autre vue de l'île Boudreau. C'est Michelle qui est au loin.

En pleine contemplation du superbe paysage...

Une des extrémités au nord-est de l'archipel des Îles.

Ici on est directement exposé à la mer.

Impressionnant l'érosion rapide des falaises de grès rouge, une roche très friable.

Jeudi 5 août: une journée molo...

Le vent s’est levé et a chassé les nuages et la pluie.  Aujourd’hui nous n’avons rien de précis à l’horaire, nous faisons quelques courses à Cap-aux-meules, ‘downtown’.  Petit arrêt au musée sympathique ‘Elie à François’ qui appartient au Papa à Monica.   Quel homme passionné ce Monsieur Albini.  Wow!   Sa passion c’est les maquettes surtout de bateaux et de maisons de ses ancêtres et autres bateaux célèbres.  Nous avons vu la maison de son grand-père reconstruite à l’échelle, des bateaux des îles et comme on disait à l’époque,  botte (prononcé boat) à t’chu carré, et  botte à t’chu pointu.  Nous avons vu le Calypso, le Titanic, le Bluenose…Et une reproduction de la maison de sa fille Monica.  Épatant.  Chaque maquette prend en moyenne plus de 300 heures de travail.   L’hiver a beau être long par ici, mais ça prend une sacrée passion pour se consacrer à ce point.

En après-midi, visite à la plage de l’hôpital.  Non, non, c’est une vraie plage, ne vous en faites pas, personne n’était blessé.  Beau vent alors Alain fait voler son cerf-volant.  Il est très content d’avoir finalement maîtrisé la figure d’une vrille complète avec son kite. Je lis doucement bien installée dans ma chaise de plage.  Tellement relaxe, qu’un moment donné je me suis assoupie sur mon livre.  Ah que c’est doux les vacances…

Après notre souper au chalet, nous nous sommes pressés pour aller voir les chansonniers sur le site de la côte à l’étang du nord.  Un jeune homme avec une très bonne voix et une jeune fille qui l’accompagnait à la guitare.  Digne des meilleurs talents à Star Académie.

La maison d Élie à François Leblanc (grand-père de Monica) construite en 1936

La maison de Monica à l'échelle. Même les couleurs sont identiques!

Des bâteaux de pêches des Îles

Une réplique du Titanic qui a fait naufrage au large de Terre-Neuve en 1912

Mercredi 4 août: Visite du site de La Grave

Petite journée de temps gris et pluvieux alors on en profite pour faire les boutiques sur La Grave. Et nous les avons toutes visité, l’une après l’autre, de chaque côté de La Grave.  On avait l’impression de faire un salon des métiers d’arts en plein air.  Ils sont très talentueux les artisans des îles, savonnerie, bijoutiers qui confectionnent des pièces avec de pierres locales, galeries d’art, et bien sûres parsemées de petites boutiques de t-shirts.

Tout au bout de La Grave, à côté de l’un de nos restaurants fétiches, Au vent du Large, il y a le musée de la mer.  Comme nous étions curieux de connaître l’histoire maritime des îles, nous y avons fait un saut, qui a vraiment valu la peine.  Histoire des premiers habitants en passant par les micmacs, les français et les anglais.  Ce n’est pas parce que je vos écris en français, mais les anglais étaient vraiment détestés ici au moment de la colonisation. Ils sont arrivés après, ont imposés des loyers sur les terres des acadiens qui étaient déjà sur place et leur on rendu la vie pénible en général.  Un certain Coffin était à l’origine de toute cette misère.  Heureusement qu’avec beaucoup de courage et de détermination les acadiens ont su faire leur place malgré tout.

Nous avons aussi pu voir de magnifiques maquettes d’embarquations à travers les temps et finalement une exposition photographique des îles vu de ciel, c’était magnifique.

En soirée, nous avons souper au Vieux Couvent, un des restos les plus convoités de l’archipel.  Très bonne table, ambiance chaleureuse, décor somptueux.  Nous avons passé une très très belle soirée. 

Le restaurant Au Vente du Large: excellent endroit pour déguster des tapas.

Le site historique de La Grave: surement le site touristique le plus visité aux Îles.

À La Grave au coeur du festival acadien.

Au Domaine du Vieux Couvent: une excellente table à Havre-aux-Maisons

Mardi 3 août: Croyez-moi, croyez-moi pas...

Le beau temps continue aux Îles. Un autre début de journée ensoleillée presque sans vent. Après un petit déjeuner au chalet, c’est notre rendez-vous presque quotidien au café des Pas Perdus pour mettre à jour notre blog et lire nos courriels.

Nous nous dirigeons ensuite vers le restaurant La Cuesta pour réserver nos places au

souper-spectacle (contes et légendes). Également, visite de quelques boutiques souvenirs.

En après-midi, nous nous dirigeons vers la plage de la Dune du Sud au nord de Havre-aux-Maisons. C’est fou tellement les plages semblent interminables aux Îles. Nous avons marché plus de 2 km sur la plage (près de 5 km aller-retour) sans en voir la fin. Les Îles, c’est le royaume des plages. Quelqu’un qui voudrait marcher toutes les plages des Îles sur toutes leurs longueurs en aurait pour des semaines à plein temps! On doit être prudent toutefois lorsqu’on se baigne dans la mer. Du côté ouest des Îles, les plages sont exposées directement à la mer donc plus dangereuses lorsqu’il y a beaucoup de vagues.

À 18h00, c’est notre souper-spectacle contes et légendes au restaurant La Cuesta à Fatima. Au menu, suprême de poulet pour Alain (histoire de faire changement des fruits de mer que j’ai mangé presqu’à tous les soupers depuis notre arrivée aux Îles) et pétoncles flambées au whisky pour Michelle. Un autre délicieux repas des Îles en plus d’un charmant spectacle de contes et légendes accompagné de musique des Îles avec Gilles Lapierre (conteur et guitariste) et Steven Poirier (violoniste). L’ambiance qui régnait ressemblait davantage à un ‘Kitchen Party’ qu’une ambiance de restaurant.  Nous avons même eu droit à une dégustation de Bagosse (boisson alcoolisée des Îles fait à partir de végétaux fermentés). On ne peut confirmer si toutes les histoires racontées étaient vraies mais chose certaine, on a pu apprécier la joie de vivre, la détermination, l’imagination et la créativité des madelinots.

Cerfs-volants et châteaux de sable... une image familière sur les plages des Îles.

Des pluviers en quête de nourriture sur les plages

Les musiciens en spectacle au souper contes et légendes des Îles

Un autre succulent repas des Îles au resto La Cuesta lors du souper spectacle Contes et légendes des Îles

Lundi 2 août: Fore!!!!

Le beau temps se poursuit aux Îles. La mer est comme un miroir tellement elle est calme. Nous avons bien fait d’aller en voilier dimanche car depuis ce moment il n’y a presque plus de vent. Du moins, pas assez pour les sports de voile.

Après un déjeuner au chalet, nous allons jouer un 9 trous à l’unique terrain de golf des Îles situé à l’Étang-du-Nord. Comme il n’y a presque pas de vent, on a moins de chances de perdre nos balles. ;-) Bof, le golf n’a pas été un gros succès, mais il y avait une belle consolation par la suite…

Tout près du terrain de golf se trouve la micro-brasserie « À l’abri de la tempête » fondée en 2004 par des montréalais venus s’établir aux Îles. Nous en profitons donc pour aller la visiter. Une visite guidée nous permet de mieux comprendre le procédé de fabrication de la bière et les éléments qui font la différence entre les différents types de bières. Très intéressant! Au pub de la micro-brasserie, nous avons eu l’occasion de faire une dégustation des différentes bières locales accompagnés d’excellents produits produits du terroir et de la mer des Îles : cretons de veau de Nathaël, fromages du Pied-de-Vent, péperettes de loup-marin, hareng fumé, pétoncles, maquereau, saumon fumé. Un vrai régal!

Au retour, un arrêt à la boulangerie Madelon pour choisir un dessert pour accompagner le souper chez Monica et Steve. Ça été bien le fun de retrouver Monica, cela faisait déjà 5 ans qu’elle avait quitté St-Bruno.  Nous avons une de ses amitiés qui transcende le temps et l’espace.  Dès qu’on s’est retrouvée, c’était comme la dernière fois qu’on s’est vue. Monica et Steve on une très charmante maison qui est magnifiquement décorée.  Merci encore pour cette agréable soirée qui nous a permis de connaître davantage l’hospitalité des gens des Îles.

À l'abri de la tempête, un musée de collection de bouteilles de bières!

Le sympathique pub de la micro-brasserie "À l'abri de la tempête"

Un souper inoubliable chez nos hôtes Monica et Steve.

Dimanche 1er août: faites vos jeux!

Une autre belle journée qui s’annonce aux Îles de la Madeleine. Un beau soleil et un vent presque nul, ce qui est très inhabituel aux Îles. On dirait qu’on s’en va vers plusieurs jours de beau temps.

Ce matin, on décide d’aller déjeuner au café des Pas Perdus car on a 3 jours de compte rendu à publier sur notre blog. On en a pour au moins…une heure et demie! ;-) Gauffres maison avec fruits pour Alain et œufs, bacon, fèves au lard et cretons pour Michelle.

On va ensuite passer une partie de l’après-midi sur la plage de la Martinique (entre Cap-aux-Meules et Havre-Aubert). Une longue marche dans le sable et ensuite assis dans nos sièges de plage pour faire de la lecture ou simplement se faire bronzer.

Au retour, un arrêt au Gros Cap pour admirer le paysage et un arrêt à la poissonnerie pour acheter du flétan pour souper.

En début de soirée, nous allons assister aux courses de chevaux au Centre Alfred Gallant tout près de notre chalet. Un événement très populaire chez les madelinots. Nous avons d’ailleurs été témoins d’un nouveau record du mille du cheval Joker (1 min 58.02 sec). Très drôle car comme il n’y a pas d’estrades, la plupart des spectateurs demeurent dans leurs voitures et klaxonnent le cheval gagnant à l’arrivée en signe d’applaudissements.

Une course serrée... le gagnant va se décider au sprint final!

Voici Joker, le détenteur du nouveau record du mille au Centre Alfred Gallant en 1:58.02!

Samedi 31 juillet: partons la mer est belle...

Comme la météo est favorable, nous en avons profité la veille pour réserver une escapade en voilier à l’île d’Entrée.  Nous avons rendez-vous à 9h00 à l’Istorlet pour rencontrer le capitaine et ensuite se rejoindre à la marina de plaisance de Havre Aubert.  Notre embarcation, un CS36 avait un peu d’âge, mais est quand même bien équipé.  Notre capitaine, Alain Arseneau, est un Madelinot sexagénaire qui est né à Montréal de parents Madelinots.  Il est venu s’installer aux Iles il y a un bout de temps pour y rester.

Nous avons tiré des bords jusqu’à l’île d’Entrée et c’était très agréable.  Petit vent, 10 à 15 nœuds et beau soleil.  Lorsque nous avons accosté à la marina, petit pique-nique sur la berge, question de prendre des forces pour l’ascension du Big Hill.  Quelle belle excursion, surtout puisque nous étions accompagnés de notre guide-capitaine.  Contrairement aux touristes, plutôt que d’emprunter le sentier en gravier qui amène de façon très abrupte sur le Big Hill, notre capitaine nous fait plutôt longer la côte et les falaises pour une ascension plus douce et surtout informative sur la faune et la flore de l’île. Un fait intéressant, il y du bétail sur cette île, des vaches et des chevaux situés dans un enclos sur la moitié de l’île où il y a les collines.  Les habitants sont à l’extérieur de l’enclos sur la partie moins montagneuse.  Vous verrez sur les photos un attroupement de vaches en bord de falaise.  Pas étonnant de croire qu’ils perdent en moyenne 1,5 vache par année qui tombent à la mer.

Le paysage est tellement époustouflant que nous n’avons pu nous empêcher de prendre autant de photos. Quel endroit extraordinaire, et le mot est faible.  Nous avions l’impression d’être très très loin du Québec.  Assez étonnant d’ailleurs qu’il y a environ 90 habitants sur l’île d’Entrée, composé surtout d’anglophones, contrairement aux autres îles de l’archipel qui sont surtout de souche acadienne.  Ici on y retrouve des MacLean, Josey, Welsh, Quinn, etc.  et ils sont un peu particuliers, pas vraiment accueillants, mais disons qu’ils tolèrent les touristes pas plus… D’ailleurs lorsque nous avons fait la visite de la petite église Anglicane en redescendant vers la Marina, j’ai lu sur un écriteau dans l’église, entre autre, ‘’Thou shalt not covet thy neighors wife’’, ça va on a tout compris! et on n’y restera pas, t’inquiète…

Vue de l'Île d'Entrée... notre destination!

Alain à la barre sous l'étroite supervision de Michelle

De superbes falaises de l'Île d'Entrée

Un cimetière de cages à homards... surement pas le plus beau paysage de l'Île d'Entrée

Le sentier menant vers Big Hill, le plus haut sommet de l'Île d'Entrée

Vue d'un voilier en montant vers Big Hill

Au loin, on voit les vaches et chevaux dans leur grand pâturage de l'Île d'Entrée

Vue des habitations de l'Île d'Entrée à partir du sommet de Big Hill

À l'intérieur de l'église anglicane de l'Île d'Entrée

L'équipage du voilier